10:52 am
26 juin 2013
∼ Minuscule - Hakumei to Mikochi ∼
Genre : SoL - Fantastique
Note Technique :
Character design :
Backgrounds :
Animation :
Histoire :
Hakumei s'est installée récemment dans la maison de Mikochi, construite sur un grand arbre de la forêt... Enfin, grand... Tout est grand pour ce petit peuple de lutins de la forêt. On taille les herbes pour se frayer un chemin comme si on était dans la jungle, on se balade parfois à dos d'insecte (quand ils veulent bien), et on vivote en bon voisinage avec toutes les créatures du coin. Bref, une vie simple, à petite échelle... Enfin, beaucoup plus petite que la notre, mais qui n'est pas pour autant dénué de risques ni de doses d'aventure !
Hakumei, l'aventure elle connait ça : elle avait l'habitude de vivre en nomade avant de rencontrer Mikochi, bien plus posée et sédentaire que son amie. Mais ce duo est justement complémentaire, et chacune va pouvoir apprendre plein de choses de l'autre, ce qui va rendre leur vie encore plus remuante (surtout pour Mikochi) et amusante !
Bienvenus dans ce Monde Minuscule !
Épisodes disponibles : 5/12, chez Wakanim.
Intérêt Global (note provisoire) :
(plus ou moins 1 selon les goûts, mais faudrait être méchant pour descendre en dessous... )
Vous pouvez utiliser ce post pour nous livrer vos impressions sur la série, discuter du Plot, etc. Si vous avez peur de spoiler les gens, n'Hésitez pas à vous servir de l'option Spoiler disponible dans les outils.
11:04 am
26 juin 2013
Alors avant de commencer, on va noter les quelques points à bien comprendre : même si le parallèle facile avec Arrietty vient souvent à l'esprit, c'est en fait totalement faux. C'est un réflexe du à la notoriété du film de Yonebanashi, mais en fait les deux univers n'ont absolument rien de comparable. Dans Arrietty, tout était à l'échelle miniature, mais avec une notion de dimension humaine... Car les « Chapardeurs » vivent dans le monde des humains, le notre quoi...
Ici pas d'humain, et la civilisation entière repose sur un mélange entre lutins, esprits, et animaux plus ou moins évolués. Beaucoup d'entre eux sont intelligents, y compris les insectes, et peuvent même parler, mais il existe visiblement des degrés différents.
Et donc, tout ce petit monde évolue dans une nature qui est à la même échelle que la notre, mais dont la société est taillée sur leur propre échelle à eux.
Du coup, même si cette échelle est importante pour l'univers de la série, elle n'est pas pour autant réaliste comme pouvait l'être celle d'Arrietty. Alors, svp, je ne veux pas voir de grincheux qui vont s'emmerder à mesurer la taille du moindre truc ou les possibilités d'avoir tel ou tel objet à cette échelle ou autre bêtises du genre, ok ?
Même si certaines choses sont assez bien vue de ce côté, comme par exemple de devoir casser les énormes grains de riz ou les grains de café pour les utiliser.
Maintenant que ce point est fait, entrons un peu plus dans le vif du sujet. Cette série est un SoL Fantastique, dont les épisodes sont découpés en chapitres, comme le Manga. Vous aurez en général 2 à 3 petites histoires par épisode, tournant autour des actions découlant des idées souvent farfelues d'Hakumei, et pour contrebalancer, les petites habitudes de vie bien ancrées de Mikochi, la voisine parfaite que tout le monde adore (sérieux, ça c'est de la popularité ! ).
Dans l'équipe, Hakumei est l'électron libre, la « Happy go Lucky », débordante d'énergie et que pratiquement rien ne perturbe. Mikochi est plutôt à l'inverse, bien plus « civilisée » dirons nous : un peu trouillarde et pas très aventureuse, plus à son aise dans les ruelles des villes et villages du coin que dans les profondeurs de la forêt... Mais il ne faut pas trop s'y fier, elle possède un paquet de talents et de qualités malgré son air casanier. L'une et l'autre vont s'influencer sans mal et via ces échanges chacune va pouvoir découvrir des choses qu'elle ne connaissait pas.
Par exemple Hakumei n'aura aucun mal à emmener Mikochi à la recherche du légendaire Milan du Crépuscule : un gigantesque oiseau rouge qui exhausserait les vœux de celui qui le voit s'envoler au lever du jour.
Et qui se trouve en fait être le seul animal familier que Mikochi avait eu par le passe, son oiseau du nom de Cafou, qui raffole du Minestrone qu'elle cuisine. A noter qu'il fait parti des animaux les plus grand que l'ont va croiser pour le moment, malgré le fait qu'au départ il a une taille assez réduite. De plus, malgré son intelligence, il ne parle pas. Cela étant dit, on comprend pourtant assez facilement pourquoi cet oiseau (et sans doute ses semblables) sont devenu une légende, vu la prestance qu'il dégage.
La grande classe !
En échange, Mikochi va l'emmener faire des courses dans la ville portuaire d'Arabi, plus particulièrement au « Marché en Cubes », avec ses échoppes entassées les unes sur les autres (ce qui est très japonais quand on y repense bien ).
Regardez moi ce magnifique bordel !
C'est l'occasion de voir un peu plus comment est organiser la société dans cet univers, et aussi de rencontrer de nouveaux personnages... Ainsi que de tester la popularité de notre chère Mikochi !
C'est assez marrant de voir qu'en l'espace de quelques scène, on peut se rendre compte que Mikochi n'est pas n'importe qui en terme de notoriété : on la dépanne tout de suite quand elle perd son porte monnaie, on lui demande un tas de conseils, notamment sur la cuisine...
Et heureusement aussi pour elle qu'elle connaît le patron du Café Osselet, c'est pratique pour y déposer tout le bazar qu'elle a récupéré sans rien faire.
D'ailleurs, question popularité, on va pouvoir aussi en mesurer l'ampleur lors du concours de Diva de la fête des moissons, reporté par la Barde Konju et... Auquel Mikochi n'a tout simplement pas participé !
Ce qui ne l'empêche pas d'être gagnante ex æquo ! Il est d'ailleurs intéressant de noter dans l'histoire que Konju est plus en colère du fait que Mikochi ne prend pas cet honneur au sérieux, que du fait qu'elle soit obligé de partager la scène avec elle.
Et Mikochi ne comprend pas l'importance de l’événement non plus... C'est la qu'Hakumei apporte sa petite touche, avec ses connaissances en matière d'esprit et de folklore, en lui montrant le lien entre la cérémonie et les Tsukumogami (Esprits provenant d'objet anciens devenus vivants), oubliés de la foule, mais qui pourtant se rassemblent tous les ans rien que pour le concert de la Diva.
Qui de toute façon ne pourra pas y arriver seule vu ses ptits problèmes de santé...
Sorti de ces activités plutôt « normales », on peut aussi faire des trucs plus osé, et ça c'est la spécialité d'Hakumei... Genre... Aller pécher de nuit dans un coin ou on raconte qu'on a vu un énorme poisson fantôme ? Ouaip ! Ça semble cool comme idée ! GO !
Et comme derrière toute rumeur ou légende, on trouve souvent un truc vrai qui a été mal interprété, c'est à Sen, une habitante du coin un peu particulière, que revient l'honneur de leur expliquer ce qui se passe derrière cette histoire étrange...
Ses expériences à elle, en gros... Entre Alchimie et nécromancie puisqu'il s'agit de « redonner vie » à des squelettes grâce à des cœurs artificiels en forme d'ampoules. Visiblement certaines de ses créations dépassent le stade de simple marionnette pour arriver à quelque chose de presque réellement vivant... Comme George la tortue, ou ce fameux poisson un peu trop dynamique.
L'arroseur arrosé...
En même temps, il est vrai que l’émetteur qui passe du poisson péché la veille à la pire des boules d'énergies sur pattes de la région, ça aide pas pour calmer la bête !...
Dans tous les cas, l'univers de la série est bel et bien Fantastique sous toutes ses formes, avec la dose de magie et de spiritisme qui va avec, et à côté de ça, vous avez aussi tous les tracas quotidien de la vie la plus ordinaire qui soit...
Comme le moulin à café qui ne veut plus tourner du jour au lendemain. Ce qui ne serait pas forcément si grave si ce n'était pas celui du parton du Café du Marché en Cubes...
Et qui plus est celui de sa maman, qui lui a cédé son Café pour partir en voyage autour du Monde... Sauf que comme elle le lui avait pourtant dit, ce fameux moulin à café ne lui répondait qu'à elle : les Tukumogami sont partout, sachez le !
Notez que dans une certaine mesure, la science et la technologie aussi ont leur place dans cet univers, même si on est bien plus proche d'un côté Steam-punk qu'autre chose. Mais du coup quand on a l'esprit vif et curieux, comme Hakumei, et une personne qui peut vous fournir des ingrédient pour faire l'andoui... Pour faire des expériences super intéressantes, comme Sen, pourquoi se priver ?
Après, faut juste assumer les conséquences...
Oups...
Bon, Ok, Sen aurait ptêt du filer un mode d'emploi et une notice de sécurité en même temps que la poudre à canon... Mais faut avouer que c'est un peu ballot de laisser ça traîner sur la table... Pas loin de la fenêtre, avec le bocal... Enfin bon bref... Sen assume quand même sa part en s'occupant de la réparation.
Donc, les singes marchent au Tambour, je note...
(elle a quand même un ptit côté flippant, Sen, avec ses squelettes... )
Le temps de réparer les bêtises qui ont un peu très légèrement impacté la maison de Mikochi, Hakumei va enseigner à cette dernière les joies du Camping ! C'est quand même pratique d'avoir quelqu'un qui se débrouille si bien dans la nature dans ce genre de condition. En même temps, si cette poule mouillée de Mikochi aurait vraiment du mal à s'en sortir seuls, elle ne va pas pour autant se tourner les pouces, croyez moi !
La tente et le four fabrication Hakumei, la bouffe fabrication Mikochi, tout est impeccable dans cette combi !
Et puis c'est pas si mal de passer la nuit à la belle étoile, non ?
Après toute ces palpitations, retour à la normal... Si on veut (Sen étant passé par la)... Enfin bref, pour le dernier chapitre de ce 3ème épisode, on va voir de quel bois Hakumei se chauffe ! Celle-ci a décidé de travailler pour aider Mikochi. Mais aussi bricoleuse et énergique qu'elle soit, avoir un travail, un vrai, comme une pro, c'est un peu stressant. Surtout quand c'est pour être appelé un peu partout à la rescousse pour réparer ci et ça.
Y compris les moulins...
Heureusement qu'elle peut compter sur Sardin, son patron grognon au physique un peu imposant.
Ou plutôt « Sardine »...
Ce qui est assez intéressant c'est que le ton de ce chapitre est curieusement plus sérieux que les précédents. C'est vrai qu'on a beau être dans un monde assez féerique, la vie c'est la vie, avec toute sa complexité... et ses moments sérieux aussi.
Surtout quand on fait un boulot risqué qui t'oblige à monter sur les toits ou t'accrocher sommairement pour pas tomber de l'échafaudage...
Une dernière petite note pour le début de cette Review : surtout ne zappez pas les Endings, vu qu'ils contiennent tous une petite histoire, souvent importante pour comprendre un élément de cet univers ou du background d'un personnage...
Et c'est ici qu'on s'arrête pour cette fois... Mais pas pour longtemps car on se retrouve la semaine prochaine pour parler des épisodes 4-5-6 !... Au coin du feu avec une bonne compote de poire...
1:49 am
26 juin 2013
Et nous revoici donc réunis pour la suite des aventures d'Hakumei et Mikochi !... Oui, je sais, c'est un SoL, pas un Shonen bourrin. Mais bon, elles ont leur lots d'aventures quand même, je trouve. Même s'il est vrai qu'on trouve plus de moments paisibles dans cette série qu'autre chose. Et c'est aussi ça qui est bien.
D'ailleurs on commence par un de ces moments la, avec la visite que Konju rend à Mikochi, dans sa maison toute neuve... Histoire de... Bien apprécier l'entrée Gothique ?... Enfin bon, bref...
C'est assez marrant car c'est un passage très « La Cigale et la Fourmis » version japonaise. Or il faut savoir que je déteste la version française de cette Fable, tellement elle a fait des dégâts dans l'inconscient collectif : elle a transformé l'image de l'artiste aux yeux certains en celle d'un profiteur oisif qui ne contribue en rien à la société... C'est à cause de cette image que jusqu'à encore très récemment, on entendait certains parler des métiers artistiques comme « pas de vrais métiers » ou encore « un plan B quand on a raté son plan A »... Et ça, je ne l'ai jamais supporté.
Or justement, le petit passage entre Konju et Mikochi a beau partir du même principe, l'opposition entre la bosseuse acharnée à la vie simple qu'est Mikochi et la Barde un brin frivole et hautaine qu'est Konju, la réflexion de fond n'est pas du tout la même.
Notre Tsundere de blondinette va apprendre à ses dépends que la très rangée Mikochi cache bien ses talents, alors que de son côté, Konju cache mal ses lacunes dans l'exécution de tâches pourtant assez basiques.
あれ ?...
C'est déjà assez traumatisant d'offrir un produit de luxe à quelqu'un (en partie pour l'impressionner, il faut dire), juste avant de découvrir que c'est cette personne qui le fabrique à la base... Ça et tellement d'autre choses à côté.
Même ses Cookies préférés, la pauvre...
Mais en plus de ça, se rendre soi même compte qu'on est pas capable de suivre les plus simples des instructions, même avec la meilleur des volonté, pour aider la personne en question... L'Ego de Konju va en prendre un sacré coup.
Sauf que voilà, c'est la ou la comparaison s'arrête avec la Fable de La Fontaine ! Car notre cigale saura elle aussi apporter sa contribution par ses talents, d'une façon que Mikochi n'aurait pas imaginé, et aurait été d'ailleurs incapable de concevoir elle même.
C'est un peu bête mais elle avait pourtant tout sous la main, parfums et essences... Sauf le côté créatif, pour le coup. Elle l'a sûrement pour des choses comme la cuisine, ou tu peux tester par toi même avec le goût, mais pour penser à parfumer et décorer les savons pour mieux les vendre, c'est en fait beaucoup plus conceptuel. C'est la que l'esprit créatif d'une artiste comme Konju (aidé par son côté un peu frivole, il faut l'avouer) a une longueur d'avance sur le côté pragmatique « un savon c'est fait pour laver » de Mikochi !
Ça et le fait que la grand-mère de Konju avait un curieux sens des priorités... Mais c'est bien aussi, car il faut de tout pour faire un Monde sympa.
Du coup, je suis très content que la morale soit plus proche de « chacun contribue comme il peut, et il n'est pas forcément bon de sous-estimer l'apport que peut vous fournir quelqu'un dont la vision des choses est assez différente de la votre. », que de la Fable de La Fontaine.
Après cette charmante petite visite, il est temps de partir à l'aventure !... Enfin plutôt en mission de ravitaillement dans la forêt, avec Hakumei la baroudeuse, cela va de soi ! Et bien sur, autant choisir un endroit plein de ressources mais aussi... Territoire de chasse d'un « grand prédateur » surnommé Oroshi !
On se retrouve encore une fois face à une des particularités de cet Univers : certains animaux sont « civilisés » et d'autres moins, voir... Pas du tout ? Difficile à dire. Mais du coup, il existe des légendes ou tout simplement des rumeurs sur des « monstres » locaux, dont ce fameux Oroshi.
Or, tout aventurier sérieux le sait bien, prononcer à haute voix le nom d'un monstre local quand on est sur sont terrain de chasse, c'est carrément un Death Flag...
Le pire c'est que c'est la réaction de Mikochi qui fout tout en l'air : elle qui a déjà peur des insectes, et autres... Il fallait s'y attendre qu'elle s'évanouisse devant un banal, quoique imposant, hiboux... Après, être au bord d'une falaise pile à ce moment, ça aide pas non plus.
Pour échapper au danger, ça va être à « Survival » Hakumei de déployer toutes ses ressources et son expérience acquise lors de sa période nomade ! Et face à un ennemi de cette envergure, clairement trop fort, la meilleurs tactique est encore la retraite stratégique et faire profil bas...
Ça ou la négociation, ça marche aussi. C'est l'avantage d'avoir face à soi des animaux certes de grande taille mais au minimum semi-intelligents. La négociation « viande fumée contre fruits de la forêt » était pour le coup plutôt une bonne aubaine.
Il est flippant, Oroshi...
...Mais dans le fond il est plutôt sympa.
Après, je ne peux pas m'empêcher de me demander quel est l'origine de la viande. Après tout, même dans les animaux civilisés, on trouve pas mal de carnivores. Il y aurait donc des animaux qui ont encore le statu de proie.
C'est assez logique vu que vous avez des créature comme Oroshi qui ont le titre de « prédateurs ».
On va en profiter d'ailleurs pour en apprendre un peu plus sur le passé de Nomade d'Hakumei, histoire de bien comprendre que c'était pas toujours drôle d'être livré à soi même sur les routes de ce Monde étrange.
Heureusement pour elle que même avec les fameux dangers de la vie de nomade, on peut y faire de belles rencontres, comme la Caravane d’Émeraude. C'est dommage qu'on en sache pas plus sur elle car le tout petit passage dans l'ED est diablement intriguant !...
(Et puis j'aimerais aussi savoir à quoi ressemble les vaches dans cet univers... )
Après toute ces émotions, il est temps pour Mikochi de se reposer un peu... Mais pas Hakumei, qui va avoir le droit à un épisode quasi rien que pour elle : l'épisode 5, nous présentant la Confrérie Fend-La-Roche ! C'est une association d’artisans spécialisés dans les travaux du bois, de la pierre, etc... Notre cher « Sardine » en fait bien sur parti, et Hakumei, notre bricoleuse / réparatrice de choc, vient y faire ses premiers pas, dans l'espoir d'y trouver sa place.
C'est d'ailleurs très intéressant car, contrairement à Mikochi, qui est très bien implantée dans la communauté et bénéficie d'une réputation quasi hors normes grâce à ces talents, Hakumei elle, peine encore à trouver sa place depuis qu'elle a arrêter de vadrouiller et s'est installée chez Mikochi. C'est donc le moment ou jamais de prouver sa valeur !
Et c'est une occasion de plus d'explorer le bestiaire totalement bigarré qui peuple cet Univers : de l'imposant vice-président, Katen (un Blaireau?), au président lui même, Narai, un Lutin comme Hakumei, le contraste ne pourrait pas être plus violent.
Les chantiers qui sont confiés à cette association sont d'un niveau de complexité assez loin au dessus de ceux qu'Hakumei avait l'habitude de faire avec Sardin. Ça sera donc à elle de persuader le très bourru Narai qu'elle a les épaules assez solides pour faire partie de cette Confrérie... Mais c'est plus facile à dire qu'à faire.
Côté intéressant même si assez classique, Hakumei va apprendre pas mal de chose utiles, comme le fait de forcer trop sur le boulot pour impressionner les gens c'est pas obligatoirement la bonne chose à faire, et ça c'est bien vrai. Mais elle va aussi montrer que son sérieux, son ingéniosité et ses connaissances peuvent compenser son manque d'expérience sur le terrain. Comme le fait d'avoir su détecter juste à temps le problème avec la pierre maîtresse et avoir su trouver un solution de remplacement correcte dans la foulée.
Narai est bien obligé de reconnaître qu'elle peut parfaitement faire parti de la bande... Un peu aidé en se sens par Hakuyo, sa femme, d'ailleurs.
Redoutable est le mot...
Mais bon après tout ça, il est temps de faire la fête !
L'épisode 6 est plus posé, réellement en mode détente pour cette fois... Et quoi de mieux pour se détendre que d'aller se faire pomponner dans un salon de coiffure ? Alors par contre, pas n'importe lequel...
Et surtout, c'est Hakumei qui s'y colle, dans l'improbable salon de l'étrange (voir carrément un peu toquée) Jada.
Oui, elle est vraiment coiffeuse, on vous le jure !
Le temps de se faire une nouvelle tête et on retourne au boulot !... Pour finalement se poser des questions existentielles comme « Dis, Sardine ? Tu fais quoi pendant tes jours de repos ? ». Et devant la catastrophe de réponse, Hakumei et Mikochi vont se charger de montrer à notre très casanier Sardin ce qu'est une vraie journée de détente EN VILLE ! (Ouais, le truc avec plein de gens, plein de magasins, plein de restaurants... )
Marchander dans une friperie, manger des Burritos, tenter sa chance à la fontaine à souhait... C'est clair que c'est pas dans les habitudes de notre « Sardine ». C'est assez marrant de voir la réaction paniquée de Mikochi à l'idée qu'il veuille aller bosser avec son super manteau de marque, ou encore de penser qu'ils ont aussi des Burritos dans cet univers.
Et que Narai est vraiment trop Badass...
On fini naturellement pas un diner / Pique-nique avec vue sur les Moulins et le soleil couchant...
Après cette bonne journée bien remplie, hop, fini, Générique de fin et... Holà ! Minute papillon ! C'est que c'est pas fini en fait ! La blague pour ceux qui auraient tendance à zapper au moment de l'ED : JE VOUS AVAIS PRÉVENU QUE FALLAIT PAS !
Car l'ED cette fois nous présente la suite de l'épisode, qui n'est pas fini !
On est parti pour retourner chez Jada pour qu'Hakumei puisse la présenter à tout le monde : Mikochi, mais surtout Konju ! Notre blondinette ne saurait résister à l'annonce de la présence d'un nouveau salon de coiffure dans les parages !
Sauf que voilà, Jada, c'est Jada, et elle fait un peu ce qu'elle veut... Or cette fois-ci elle a décidé de se concentrer sur : 1) Rien – 2) à la limite la boisson qu'elle sert à ses clients. C'est le drame absolu pour Konju... Mais pas pour Mikochi, la reine de la cuisine.
Konju a quand même son ptit côté Tsundere très naïf qui la rend attachante. C'était trop chou de la voir faire tous ces efforts en espérant pouvoir se faire coiffer après... Pour finalement apprendre que le « après » va prendre un temps monumental. Ô Rage ! Ô Désespoir !
Mais bon, heureusement que Jada est une bonne pâte...
Au final, dans ces 3 épisodes, on a vraiment assisté à l'arrivé et l'installation dans le paysage d'un paquets de nouveaux personnages récurrents, et je pense qu'on a pas fini de faire le tour du voisinage.
Mais ça sera pour la prochaine fois...
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