Je  vais vous raconter une histoire, désolé pas d'images ce soir.

Je vais parler de quelque chose qui n'a peut être pas sa place encore sur ce forum...

J'ai rencontré un très grand homme de littérature, publié ,je le savais dans une boite d'édition qui au niveau littéraire pure, est phénoménal.

J'ai toujours eu énormément de chance, et il m'a envoyé son livre, et à cause de notre pseudo rencontre il a finis par dire  ok pour tout.C'est à dire, tu portes mon monde au niveau graphique, et peut être après ,certainement, je vais écrire, des dialogues sur ton premier court métrage.C'est du graphisme, pas de la série réaliste.

J'ai découvert qui je suis réellement évidement là on va rentrer  dans la quatrième dimension....

J'ai lu cet ouvrage ou les décors, peuvent s'ils sont correctement développés,peuvent exister.Mais,le problème, c'est que j'ai finis par absorber, pour ne pas dire, malheureusement, son univers, et j'en ai compris, ce que moi(malgré tout le respect immense que j'ai pour cet homme)j'allais en faire.

Donc j'ai enfin compris,que je suis uniquement une caisse de résonance, et plus tard j'ai commencé à le faire mourir,et j'ai développé sous forme de planches , ce qui est pour moi une  quintessence de son monde.

Les formes étaient inspirés du surréalisme, moi je vais chez Magritte, et vous ,vous connaissez ses héritiers(sans aucun jugement de valeurs) moébius, jodorwski, and so one.Dans mes planches, il y avait orange mécanique, moébius, et malheureusement aussi la partie sombre de jodorowski.Tout à coup magritte et le cliché issus du super héros des comics,et aussi salvador Dali, sont venus me rendre visite,sur 48 heures de boulot non stop.

Comme un husard j'ai finis par faire un truc au niveau intellectuel qui est de la pornographie.(N'ayez pas peur, il n'y a pas de porno dans mes planches).C'est dans ma démarche intellectuelle que s'est devenu, sans le maîtriser du tout un truc totalement mal sain.Parce que au bout d'un moment, cet auteur à disparu. On va dire une chose, simple j'ai absolument voulu résumé toute la puissance littéraire des mondes imaginés par ce super mec,dans un film,qui est devenu le mien.Il a bien failli en mourir.

Je me rends compte que les autres n'existent pas dans mes planches,c'est plutôt glauque. Je ne porte personne, je développe mon monde dans le monde des autres.

Je suis un monstre, un vrai, beaucoup de très grands directeurs artistiques, m'ont embarqués, et ont  employé ma technique,soit ils m'ont dit : vas y cocotte, fais toit plaisir...donc j'ai existé en puissance, et ceux qui ont su le voir et l'utiliser, en y réinjectant, à la toute fin leurs style graphique, avec eux ça à marché;

Donc c'est parti en live...Quand cet auteur à compris que je créais mon monde au milieu de lui,il à pété les plombs.

et donc ,je pense que je je fagocite les gens, mais que je ne les portent pas.C'est enfin, une prise de conscience, pour moi, grâce à ce très grand monsieur.

Je suis quelqu'un qui existe en puissance , mais qui tue les autres.Mais c'était jusqu’à aujourd'hui, sans aucune prises de conscience réelle.

Donc je n'ai plus envie de continuer à tuer des génie créatifs, a cause de mon monde qui existe beaucoup trop.

Au delà de tout ça ou commence la création, et comment doit elle s'exercée, et jusqu'ou va t elle?

Donc  au début il y a des années de grands décorateurs scénographes, ont vu le merdier infâme, (la toute puissance)qui allait s'exercer chez moi un jour , comme chez aux , déjà, dans un quotidien de célébrité, mais une vie immonde;

Ils m'ont dit ne deviens pas comme nous,des monstres, et fait des gosses, c'est mieux.C'est un peu réducteur, n'est ce pas, mais quelque part, ils avaient raison, sur tout mon avenir.

J'ai flingué quelqu'un avec mes univers.cet auteur.Il ma donné une partie de son âme et c'est devenu un exutoire.

Ce qui au final est dommage, c'est que mes images, qui n'existent que à  cause de lui,ou grâce à lui .

j'ai existé uniquement à cause de lui ou grâce à lui, et je le fait disparaître. là  ça devient burlesque,et donc tragi-comique.

alors...que faire, he bien m'interdire,sauf si c'est un sauvage,(seuls les sauvages peuvent résister)de recommencer à exister, de

cette façon là.

ou bien, j'assume le monstre qui est en moi,et je développe seule mes délires)ou bien, j' arrive un jour à porter réellement , les

univers des autres.

Donc au bout de cet état d’âme et surtout cette prise de conscience,essayez de ne pas devenir un monstre, qui existe dans sa toute puissance.

au bout de tout,  j'ai adoré tout les gens avec qui j'ai travaillé et surtout dans le cinéma d'animation, mais est ce que ,(quand je ne faisais pas de technique,de copie,)je les ai vraiment rencontrés.Eux m'ont rencontrés , mais moi  jamais. 

je suis plantée dans mon décors.

j'ai dessiné un film,sous aucunes formes technique. Ce film est prémonitoire,car le monstre qui est dans se film va se libérer de ce funeste destin, et enfin prendre un corps d'homme.En chaire et en os.

donc je me promet, a terme de produire les autres.Parce que ce monstre qui est une partie de moi même, je ne peux pas l'assumer.parce que j'aime terriblement les gens,d'une façon bizarre mais dans une sincérité extrême.

Et vous êtes vous parfois dépassés par vos univers?

Alors vive le cartoon, et les monthy-pythons;entre autre...que vais je faire de cet ego?

on peux fabriquer éternellement sans réfléchir , jusqu'au jour ou pète quelqu'un en deux ou pire.

A terme qu'est qui compte vraiment? Fagociter les autres ou exister vraiment...avec eux?

Il ny a pas que la technique,il y a aussi la question suivante  : qu'est ce qu'on en fait.et comment on la donne.

ce monstre ne va pas mourir, il va faire beaucoup mieux, il va renaître sous une forme humaine;

j' espère, que je ne vais pas virée de ce forum.ce serait franchement dommage,parce qu'il est top,et équilibré.

Ce qui est stupide c'est que si je le pouvais, je posterais ce texte, et ce que j'en ai fait. Et là il aurait réellement débat.Je ne peux pas , car je le trahirais encore un peu plus.Donc stop.désolé pour les fautes de frappe,je gribouille, et c'est peut  être mieux.

si j'ai le courage de faire les scènes principales de mon premier projet, je vais poster.Ce sera mieux que tout ce baratin.