21:13 pm
22 décembre 2015
∼ Shingeki no Bahamut : Virgin Soul ∼
Genre : Heroic-Fantasy/Action/Aventure
Note Technique :
Character design :
Très soigné et plaisant dans la lignée de la première saison tout en restant globalement dans les canons actuels.
CGI :
Backgrounds :
Animation :
Le haut du panier de la saison si on se base sur le début et sur le travail déjà réalisé sur la première saison
OST :
Histoire :
Potentiellement le point faible de la série (tout est relatif, je dis ça parce que les autres aspects mettent la barre assez haut), mais le cadre de cette seconde saison me laisse penser que son histoire pourra être meilleure que ce que je prévoyais.
Comme j’ai déjà pu le faire précédemment avec Gundam IBO, cette review commence directement avec la seconde saison, il est donc utile de faire un bref rappel, d’autant plus que les personnages de la première saison sont pour la plupart de nouveau au rendez-vous (vraiment foncez la regarder, c’était vraiment une bonne série action de 2014 !).
Adaptation de l’univers d’un jeu mobile par le studio MAPPA alors en pleine ascension, Shingeki no Bahamut met en scène un monde divisé en trois factions : la faction divine avec ses anges, la faction démoniaque et l’humanité. Dans un lointain passé le terrible dragon de la destruction, Bahamut, fut vaincu par l’unification temporaire des trois factions, son pouvoir divisé en deux et gardé par la faction divine et la faction démoniaque. Mais le vol de la partie confié aux anges par une mystérieuse fille du nom d’Amira va mettre le monde en péril à nouveau. La rencontre entre Amira et Favaro le chasseur de prime va servir de point de départ au titre et notre duo bientôt rejoint par Kaisar, ami d’enfance de Favaro qu’il traque désormais sans relâche pour se venger (donnant lieu à d’épique scène de poursuites)
puis par Rita la nécromancienne, va prendre part à une quête pour sauver le monde de la résurrection du terrible Bahamut.La quête sera finalement menée à bien et Kaisar notamment recevra enfin les honneurs qu’il recherchait tant pendant et malheureusement pour Favaro, par la disparition d’Amira.
Rythme endiablé, combats épiques et casting de qualité étaient les gros point fort du titre qui ne comportait alors que douze épisodes diffusés chez nous via un partenariat Dybex-Wakanim. Dans Virgin Soul, une ellipse de dix ans vient d’avoir lieux, pendant laquelle l’humanité semble avoir pris largement le dessus sur les deux autres factions sous l’égide du roi Charioce XVII que sert désormais Kaisar. Les démons notamment ont été réduit en esclavage après la conquête de leur capitale par l’armée royale.
C’est dans ce contexte qu’on trouve notre nouvelle héroïne : Nina, jeune femme capable de se transformer en dragon et qui vit depuis peu dans la vaste capitale. Alors qu’elle maitrise mal son pouvoir, elle va croiser Azazel, personnage important dans la hiérarchie des démons qui va tenter de la convaincre de lui prêter son pouvoir pour libérer son peuple. Azazel est lui-même traqué par Kaisar mais ce dernier est plongé dans le doute quant à déterminer où se trouve vraiment le bien et le mal… C’est donc sur des bases à nouveau rythmée et sur une excellent opening "LET iT END" de SiM comme pour la saison une, que débute cette nouvelle review pour cette fois un prévisionnel de 24 épisodes.
Épisodes disponibles : 24/24 chez Amazon
Intérêt Global :
(+1 pour les fans de belle action, -2 pour les amateurs de titres « intellectuels » et posés)
Vous pouvez utiliser ce post pour nous livrer vos impressions sur la série, discuter du Plot, etc. Si vous avez peur de spoiler les gens, n'Hésitez pas à vous servir de l'option Spoiler disponible dans les outils.
15:24 pm
22 décembre 2015
Et c’est en ce jour d’élection que commence cette review d’un de mes animes phare de cette saison (et de la prochaine, vu que l’anime fera 24 épisode), le retour de Shingeki no Bahamut.
Le premier épisode rentre directement dans le vif du sujet en nous montrant un des évènements clés séparant la première saison basée le retour du dragon Bahamut, et cette nouvelle saison se déroulant dix ans plus tard. Dans ce premier passage, on voit une puissante force humaine appuyés d’artefacts magique et de golems de combats, prendre d’assaut une forteresse de la faction des dieux et vaincre plutôt facilement un de leur commandant. Ce passage est bel est bien destiné à nous montrer que les dociles et faibles humains sont désormais la grande puissance de ce monde et qu’ils ne respectent plus les dieux ni ne craignent les démons.
Les démons qu’on retrouve dès la scène suivante, à l’intérieur de la capitale humaine avec un tueur en série masqué qui s’en prend à des trafiquants d’esclaves (les esclaves en question sont justement des démons) et on apprend que l’assaillant est un multirécidiviste, recherché par toute l’armée royale dont un protagoniste de la première saison : la capitaine Kaisar.
Le contexte rapidement planté, on passe ensuite à la présentation de l’héroïne de cette nouvelle saison : Nina. Là où Amira avait une certaine froideur et réserve tout en gardant une profonde beauté, Nina est l’archétype opposé de la jeune fille en sortie d’adolescence et pleine de vie et de bonne humeur, le genre de personnage qui vous remonte le moral par sa simple présence. On la voit vaquer à diverse occupations et faire surtout preuve d’une immense force physique assez anormale pour son gabarit, on nous met aussi très vite en avant qu’elle est très sensible aux charmes des jolis hommes ce qui semble provoquer une réaction anormale chez elle.
Mais dès la nuit tombé le démon masqué refait son apparition, toujours poursuivi par Kaisar mais pas seulement. En effet, Nina qui loge dans la roulotte du dieu Bacchus, celui qui servait d’intermédiaire pour les chasseurs de prime dans la saison 1, est bien décidée à toucher elle aussi la prime du démon masqué. Mal préparé et un peu optimiste, elle se retrouve rapidement en difficulté et c’est le démon qui n’est autre qu’Azazel, un des démons majeurs de la première saison, qui doit la sauver.
Néanmoins ce sauvetage nous permet de mettre directement au clair quel est le problème de Nina avec les beaux garçons : Dans un concept à la croisée de Punchline, Mob Psycho et Aquarion, lorsqu’elle perd le contrôle de ses émotions elle se transforme en dragon…et du coup la sous-titre de cette saison deux prend plus de sens : Virgin Soul 😉 . Une fois transformée, elle dévaste tout un quartier, golems de l’armée inclus et fini par se réveiller dans le cabinet d’un autre personnage connu des services : Rita la nécromancienne.
Ce passage conclu un premier épisode dense en plus qu’animé et ma fois assez efficace pour accrocher le spectateur.
Dans le second épisode, on pose un peu plus les bases du titre avec notamment Nina qui raconte ses expériences de citadine à sa mère par lettres interposées, puis elle recroise la route d’Azazel. Ce dernier essaye de la convaincre de lui prêter sa force pour sa cause, afin de la convaincre il la conduit dans un infâme bidonville où sont parqués les démons réduits à la servitude, on apprend à ce moment-là que la capitale des démons a été prise d’assaut et dévastée par les humains du roi Charioce XVII cinq ans plus tôt. Nina décline et peu de temps après c’est au tour de Kaisar d’être confronté à la réalité des action d’Azazel qui tue pour tenter de protéger son peuple des atrocités qu’ils subissent quotidiennement, étant toujours un homme d’une grande droiture, Kaisar est plongé dans le doute et laisse le démon fuir à nouveau.
Ce dernier est rattrapé par un autre ordre de chevaliers qui le neutralise avant que le mystérieux partenaire d’Azazel ne vienne à son secours avec ses puissant pouvoir visiblement proche de ceux de la faction divine et non pas de la faction démoniaque.
D’ailleurs dès le début de l’épisode suivant, on voit cette faction divine se mettre à la recherche d’un mystérieux garçon qui n’est autre que note sidekick…
Ce troisième épisode est globalement plus calme, on y voit notamment Nina battre un Charioce déguisé au bras de fer peu de temps avant qu’elle ne lâche une bombe en plein repas : celui qu’elle appelle son maitre…n’est autre que l’autre personnage principal de la première saison, l’inarrêtable et l’espiègle Favaro !
Mais la conversation tourne court alors que Charioce attire Azazel pour en finir en menaçant d’exécuter en chaine des démons et que Nina et Kaisar foncent vers le lieu de la rencontre pour essayer de sauver le prince démon…Et c’est sur ce petit cliffhanger que se termine cette première série de trois épisodes.
Au final de nombreuses choses restent encore dans l’ombre mais une partie des bases de cette seconde saison sont bien plantés avec une articulation se jouant autour des pouvoirs de Nina et du garçon divin pendant que le roi humain fait totalement figure d’antagoniste despotique et cruel pour le moment.
Pour la partie technique de l’anime, globalement j’ai trouvé ça vraiment bien avec certaines scènes vraiment bien travaillées, le reste étant très correct. La 3D bien présente pour les troupes militaires est plutôt dans une moyenne haute de ce qui se fait habituellement et pour finir l’OST est plutôt bien dosée et sympathique mais pas particulièrement marquante. Mention néanmoins pour l’opening que je trouve vraiment très prenant aussi bien sur la musique dont je n’arrive plus à me débarrasser du refrain, que sur le visuel que je trouve très classe.
Et je vous dis à dans trois semaines, s’il y a des fous pour encore me lire depuis tout ce temps
15:07 pm
22 décembre 2015
Trois semaines plus tard on peut dire que Shingeki no Bahamut poursuit de façon efficace sur sa lancée même si j’ai toujours l’impression que le titre avance dans un certain anonymat malgré ses ambitions (merci la diffusion…).
Le bloc d’épisodes 4-5-6 s’inscrit toujours dans la continuité de l’arc débuté dans les trois premiers épisodes avec des évolutions au niveau de l’histoire qui se font principalement avec les différents personnages déjà présentés, qu’il s’agisse de Nina, Rita, Kaisar, Azazel, Mugaro, Bacchus ou Charioce pour les personnages principaux du titre. De la même manière, le déroulement continue de se dérouler entièrement dans les rues de la capitale des hommes, une ville que je trouve plutôt agréablement réalisée ce qui n’est pas toujours le cas dans les titres du genre.
Pour renforcer le caractère tortueux de la ville, le déroulement des intrigues l’est aussi alors que plusieurs trames et/ou relations entre les personnages avancent en parallèles :
- La révolte des démons sous la coupe d’Azazel qui poursuit son combat contre Charioce malgré la force manifeste de ce dernier, en cherchant à récupérer le soutient de la créature la plus puissante de la ville…qui n’est autre que Nina sous sa forme dragon rouge.
- La recherche de Mugaro, l’enfant aux origines divines qui accompagne Azazel puis Nina et que la faction des dieux tente de retrouver.
On apprend d’ailleurs au détour d’un dialogue entre Charioce et l’ancienne meneuse des chevaliers d’Orléans désormais emprisonnée : Jeanne d’Arc, que Mugaro serait son enfant. Il est fort probable que cette fervente servante de l’archange Michael ait été emprisonnée lors de la révolte de l’humanité contre ses anciens maitres.
- Le rapprochement sous forme de quiproquo entre Charioce et Nina, chacun ignorant la vraie identité de l’autre, ces passages permettant de donner un peu de profondeur et de sympathie à celui qui semble être présenté comme l’antagoniste principal du moins pour le moment.
En dehors de l’intrigue qui avance mais lentement malgré tout, la série se veut aussi comique avec de nombreuses scène et passages qui prêtent à sourire qu’il s’agisse du « problème » de Nina ou de ses séquences en tête à tête avec Mugaro qui est pour sa part totalement muet. Mais d’autre personnages ne sont pas en reste pour apporter leur touche comique comme notre ivrogne local Bacchus ou encore Rita et Kaisar lors d’une tête à tête entre eux qui tourne mal par exemple.
De l’action, du fun, le tout sans prise de tête et avec une technique de qualité une fois de plus je ne peux qu’inciter les gens à la recherche d’un bon titre généraliste de se pencher sur son cas.
17:04 pm
22 décembre 2015
On le sentait déjà dans la dernière série d’épisode, mais la phase de vie à la capitale touche à la fin pour nos héros, qu’il s’agisse de Nina ou de Mugaro, le plan d’Azazel visant à faire tomber Charioce va forcément créer une grande agitation qu’il réussisse ou non. Ses chances de succès sont d’ailleurs assez faibles car reposant presque exclusivement sur le pouvoir intermittent de Nina…qu’il veut impliquer de force qui plus est.
Pendant que Bacchus tente de son côté de continuer à cacher Mugaro de ses anciens camarades, Kaisar essaye lui de dissuader le roi de participer à la parade et donc d’éviter la confrontation avec Azazel et les démons, ce qui bien sûr notre arrogant et ambitieux roi refuse sans sourciller. C’est donc sans surprise que commence l’embuscade entre démons et escorte royale, cette dernière ayant rapidement le dessus une fois l’effet de surprise passé, toujours grâce à ses troupes magiques. Azazel, incapable de rallier Nina malgré quelques scènes très drôle, rejoint à son tour le combat pour tenter de sauver ses amis en les poussant à fuir.
C’est peine perdue et les démons commencent à se faire massacrer les uns après les autres… Mugaro va alors intervenir à nouveau en déployant son pouvoir convoité, pouvoir qui neutralise l’armement magique de la garde royale.
Saisissant cette dernière chance, Azazel engage le combat contre Charioce, bientôt rejoint dans un duel à trois plutôt classe par Kaisar qui tente d’arrêter le carnage. Mais les dieux ne sont pas dupes et profitent du combat pour capturer Mugaro qu’ils cherchaient avec assiduité et qui vient de dévoiler sa position en utilisant son pouvoir. L’arrivée de Nina sur les lieux du combat laisse planer le doute sur l’issue finale, mais elle reste une fois de plus incapable de se transformer.
Les rebelles survivants (aux yeux du roi en tout cas), en l’occurrence Nina, Kaisar et Azazel, sont alors emprisonnés non sans que Nina ait pu donner son avis en personne sur ce qu’elle pense du roi, le tout devant une cour médusée par son impertinence mais aussi en partie gênée de l'entendre dire ce que certains pensent tout bas.
Elle est ensuite emmenée dans la prison de la cité en compagnie du capitaine déchu des chevalier d’Orleans. C’est d’ailleurs en prison que Nina va rencontrer la précédente capitaine de la compagnie et mère de Mugaro : Jeanne d’Arc. Finalement après avoir appris que Nina connait Mugaro, Jeanne décide qu’il est temps pour eux de s’évader de ce sombre trou… Dans le même temps Kaisar fait ses retrouvailles avec son grand compère de la première saison alias Favaro Leone qui lui raconte notamment comment il a rencontré Nina et comment elle l’a convaincu (enfin harcelé) de lui apprendre les bases du métier de chasseur de primes.
Pendant ce temps aux cieux, certains dieux semblent vouloir mettre en œuvre un plan pour sauver leur plus fidèle servante et mère de Mugaro bien qu’il semble y avoir des dissensions à l’intérieur de la faction.
En bonus, on retrouve les deux anciens acolytes de Kaisar à la tête des chevaliers en train de s’aviner copieusement dans un bar à hôtesses d’un genre bien particulier.
C’est donc là que se termine une update riche en action et en rebondissement qui marque la fin de l’arc de la capitale (enfin diront certains) et j’attends avec impatience de voir tout ce petit monde s’évader pour un objectif encore incertain au-delà de retrouver Mugaro et de la réunir avec sa mère.
14:51 pm
22 décembre 2015
C’est donc le retour de la review #Bahamut après une longue pause de deux mois en n’ayant absolument rien fait. Au moins côté positif il s’en est passé des choses !
La première d’entre elles c’est le basculement sur un nouveau OP et ED à l’épisode 13 et autant le dire tout de suite, si pour l’ending il se défend plutôt bien, le nouvel opening est tout à fait nul de mon point de vue ne serait-ce que par rapport au stylé opening de la première partie. La nouvelle musique est pas formidable mais pas si mauvaise que ça à l’usage mais c’est le visuel qui est d’un banal affligeant avec pas mal de séquences sans le moindre charisme et avec en plus de la 3D pas très belle.
Sinon pour revenir à l’histoire, après l’épisode 9 qui avait conduit nos héros en prison, on recommençait directement sur un épisode de flash-back centré sur Jeanne D’Arc, épisode couvrant ses difficultés au sein de son ordre de chevalier après la perte de ses pouvoirs à la fin du combat contre Bahamut, sa disgrâce officielle par Charioce, la naissance de son ange de fil : El, leur rencontre avec l’ange blessée Sophiel et pour finir sa traque et sa capture par les soldats du roi. Ce passage faisant pont entre les deux saisons nous permet ainsi de savoir comment El est devenu l’esclave démon Mugaro sous la coupe d’Azazel après que sa mère lui ait elle-même coupé les ailes pour le sauver.
C’est ce même El qui arrive maintenant au royaume Céleste alors que nos héros multiplient leurs tentatives d’évasion avec la contribution de Rita. Gabriel qui compte bien exploiter les pouvoir du jeune ange, libère son pouvoir latent et lui rend sa forme naturelle malgré les protestations de Sophiel qui rechigne déjà à exploiter ainsi le fils de sa sauveuse. Dans les cieux les troupes sont prêt et sous la direction de Gabriel, Sophiel et El, les troupes divines défient Charioce qui loin de se laisser intimider relève le défi. Commence alors une longue phase de combat entre humains et dieux, les troupes magiques de Charioce sont rapidement neutralisées par les pouvoirs d’El et le combat tourne très rapidement en la faveur des forces divines qui pensent la victoire acquise.
La situation étant critique pour le roi humain, il libère alors ce qui se trouvait enfoui sous la prison et qu’on avait entre-aperçu peut avant : une arme surpuissante basé sur la technologie divine volée et dont le pouvoir de destruction équivaut à celui de Bahamut lui-même. El et la majorité des forces divines ignorent les ordres de retraite de Gabriel et après que le vaisseau divin ait été détruit, les troupes du roi regagnent leurs pouvoirs et massacrent les opposants restants. Dans la confusion Jeanne et Nina prennent la fuite dans le char volant de Bacchus alors que Kaisar est de nouveau arrêté.
Désormais le but des deux femmes est de rejoindre El dans le royaume céleste, et pour cela, Nina emmène Jeanne dans son village natal pour solliciter l’aide de l’ancêtre du village, qui elle connait la route vers le domaine des dieux. Finalement elles parviennent à destination et y retrouvent El placé sous la garde de Bacchus et Sophiel.
Mais finalement on va assister rapidement à un regroupement général de nos héros à la capitale en cumulant le groupe de El, Nina, Bacchus et par la suite Sophiel et Jeanne qui vont fuir du royaume des cieux et de l’influence de l’autoritaire Gabriel, et le groupe Kaisar, Azazel, Favaro et Rita dont les deux premiers échappent à l’arène grâce à l’intervention toujours haute en couleur du troisième larron.
S’ouvre alors ce qui ressemble à l’arc final de notre aventure rythmée en haute en couleur, avec la nouvelle rencontre entre Charioce et Nina après leur double rencontre autour de la prison au moment de la guerre entre les dieux. Une fois de plus nous sommes mis devant toute la dualité du jeune homme qui opprime démons, humains et dieux lorsqu’il est roi, et qui joue avec des enfants démons quand il se déplace en civil… Après sa journée avec Nina plus mignonne que jamais grimée en démone, il finit par lui avouer ses sentiments pour elle et la scène entre les deux amoureux se termine avec une Nina qui maitrise sa transformation et qui transporte Charioce sur son dos.
Pendant ce temps là, bien caché, les démons encore libres préparent leur vengeance autour de leur maitre Lucifer...
Quel bilan tirer de cette série alors qu’on approche désormais de la fin ? A titre personnel je la trouve très satisfaisante et plus intéressante que la première saison car plus développée et portée par le personnage genki de Nina qui sème à la fois espoir et confusion sur son passage. Pour un jeu adapté d’un univers mobile c’est quand même vraiment le haut du panier (même si le plot est quand même pas fou ne nous voilons pas la face) et techniquement ça tient sur la distance. Mon seul regret reste au final le même que pour pas mal de séries sympathiques actuelles, leur visibilité et donc leur aura est très fortement dégradée chez nous par la diffusion sur le service d’Amazon. C’est d’ailleurs assez paradoxal, les gros titres commencent à tous se retrouver sur les service Amazon et Netflix et du coup si je me base sur mes réseaux, ces gros titres sont au final moins présents que des titres plus second couteaux…
15:55 pm
22 décembre 2015
C’est donc aujourd’hui et avec beaucoup de retard que la feignasse que je suis met enfin un terme à cette longue review d’un autre très bon titre de l’année qu’est Shingeki no Bahamut : Virgin Soul. La série était assez attendue de mon côté grâce à la bonne première saison et maintenant je peux dire que cette seconde saison a rempli parfaitement ses objectifs en termes de qualité, d’action et de divertissement.
On s’était quitté à l’approche du dernier arc avec le retour de tous nos héros dans la capitale humaine avec d’un côté le grand groupe Nina, El, Bacchus, Favaro, Kaisar, Rita et Azazel, de l’autre le duo Sophiel et Jeanne. Rapidement le groupe principal va se mettre en ordre de bataille pour tenter d’arracher au roi Charioce son bracelet de contrôle de l’arme terrible qu’il a utilisé contre les dieux. Pour ça Kaisar va notamment renouer avec ses subordonnés Diaz et Alessand. Ce dernier est en effet fils de la noble famille Visponti et capable d’introduire quelqu’un dans le palais lors d’un bal à venir.
Ce quelqu’un sera donc Nina qui fait le forcing pour être présente et qui met en avant l’argument de son nouveau contrôle de sa transformation en dragon rouge. Elle se fait rapidement remarquer par tout le monde par son manque de retenue et surtout parce que Chris va accepter de danser avec elle lors du bal au grand dam des nobles dames de la cour qui se bousculent pour le poste vacant de reine… Profitant que le roi s’isole avec Nina, Favaro tente de voler le bracelet mais le plan échoue à cause des sentiments de Nina pour le roi qui la pousse à s’interposer.
Alors qu’ils prennent la fuite, ils sont rapidement la cible des chevaliers d’Onyx et d’un démon engagé pour supprimer le dragon rouge et donc Nina. Le combat entre lui et Nina tourne mal pour elle et il faudra l’intervention combinée de Sophiel et d’Azazel pour les sortir de leur mauvais pas. S’ouvre alors la vraie partie finale avec un de moment les plus triste de l’anime.
Cette grosse tâche d’Alessand profite de la confusion pour poignarder en traitre El pensant par ce geste se voir offrir une promotion et redorer son blason. A partir de là Jeanne n’a plus que la vengeance en tête contre Charioce qui n’est au final pour rien dans ce geste funeste aussi inutile que stupide. Elle retourne au royaume céleste et retrouve ses pouvoir des mains de Sophiel avec l’assentiment de Gabriel afin de mener la rébellion visant à mettre à bas la tyrannie du roi.
De son côté Azazel lui aussi très touché par la mort de son protégé, décide de profiter du mouvement de Jeanne pour aller trouver Lucifer et rallier les démons à cette grande vague de rébellion. Alors que la grande bataille entre les forces loyalistes et les rebelles commencent à la capitale, Favaro et Nina apprennent la vérité quant au plan du roi : il ne cherchait qu’à obtenir l’arme ultime cachée par les dieux et grâce à la main d’œuvre des esclaves démons, pouvoir s’en servir pour anéantir Bahamut une bonne fois pour toute… Bahamut qui va d’ailleurs se réveiller conformément au plan prévu.
Entretemps, au cœur de la bataille, va prendre fin l’infamie grandissante d’Alessand qui n’hésitera pas à profiter de la pitié de Diaz pour tenter de le poignarder à son tour…mais il échoue et prend la fuite devant l’ire de son mentor avant de trouver la mort d’une façon méritée. Ainsi péri un des personnages les plus méprisables de l’année aux côtés du grand Iok Kujan.
Dans le ciel de la capitale c’est les chevaliers d’Onyx aux côtés du roi qui tentent de repousser les deux hérauts de la révolution : Azazel et Jeanne, mais à bout de force, ils ne finissent pas mourir et c’est Kaisar qui s’interpose en dernier rempart sous les cris désespérés de Rita. Son sacrifice est l’ultime tournant de la bataille qui marque une pause avant que toutes les forces restantes se tournent contre Bahamut le destructeur, dieux et démons en tête. Charioce en profite pour reprendre le contrôle de l’arme maudite mais il est rejoint par Nina qui refuse de le laisser se sacrifier seul. L’arme finit par faire feu et frappe Bahamut de toute sa puissance le décapitant et mettant fin à la menace.
Commence alors une partie épilogue concernant le futur des différents protagonistes :
- Favaro repart à l’aventure après que Nina lui ait confié les dernières paroles de sa bienaimée Amira
- Bacchus et Sophiel restent à la capitale
- Jeanne repart vivre dans le royaume céleste
- Azazel disparait sans laisser de traces alors que le peuple démon est libéré de sa servitude.
- Rita utilise ses pouvoir pour faire revenir son bien-aimé Kaisar sous la même forme qu’elle-même.
- Nina reprend sa vie initiale mais en ayant perdu la parole et en continuant de voir son bien-aimé de roi qui lui aussi a repris sa place même s’il est désormais complètement aveugle.
En soit une situation finale assez sage où seul le personnage de El est au final manquant et qui laisse totalement la porte ouverte via plusieurs allusions notamment de Favaro quant à la future saison 3 des aventures de nos héros car la menace de Bahamut n’a peut-être pas totalement disparue…
Voilà donc qui met fin à ce titre très bien mené du début à la fin par la Studio MAPPA mais qui ne fera pas partie de mes dix meilleurs titres de l’année d’une part parce qu’il y a beaucoup de concurrence de très bons titres encore cette année et que si Bahamut a le mérite de tout faire très bien, dans chaque domaine il se trouve un autre titre qui lui a su aller au-delà. Le titre bien sûr n’a en plus pas été aidé dans sa quête du public français par son mode de diffusion par rapport à d’autres titres à succès de l’année. C’est donc avec plaisir que j’ai suivi cette série jusqu’au bout mais ce n’est cependant pas un déchirement de la quitter.
Note finale :
12:33 pm
3 septembre 2013
Question d'un noob: j'aimerais bien me matter cette série mais mon compte amazon ne me le permets pas ( j'ai essayé le plugin hola pour simuler une ip us mais rien y fait ) ... où puis je trouver cette série ?
12:45 pm
26 juin 2013
Si tu as tenté d'utiliser le link en haut, j'avais par erreur mis celui d'Anime Strike, un service qui n'est dispo que chez Amazon US (hélas ). Je viens de le remplacer par celui d'Amazon Prime Vidéo, le truc français qui n'a pas un catalogue aussi fournis mais qui a quand même RoB : Virgin Soul...
The following users say thank you to Marco Sensei for this useful post:
Fresh18:02 pm
3 septembre 2013
AAAaaaaah pitain, je veux voir le catalogue des video dispo sur amazon prime et sur le site amazon c'est une tanné pour trouver ce catalogue ... @Marco, tu m'assures que cette série est au catalogue ?
Au passage, ça me fatigue ces services qui ne te donnent pas facilement accés aux infos que tu cherches Oo
19:25 pm
26 juin 2013
Je viens de voir que le link que j'ai mis en haut à mis 5 minutes de Freeze de Google Chrome avant de passer... Ils ont du avoir un gros gros prob car j'ai même eu un message de page indisponible à la fin, juste avant que la page pop comme par magie...
Pour le catalogue des séries TV japonaises sur Amazon Prime Vidéo, il est la, et RoB : Virgin Soul est en 3ème normalement.
Mais c'est vrai que leur service c'est de la M... Pour ça que je ne les considère pas comme des vrais acteurs du Simulcast mais plutôt comme des profiteurs...
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