16:15 pm
22 décembre 2015
∼ Girls’ Last Tour (Shōjo Shūmatsu Ryokō) ∼
Genre : Tranche de vie/Post-Apocalypse/Aventure
Note Technique :
Character design :
CGI :
Backgrounds :
Animation :
OST :
Histoire :
Girls’ Last Tour (ou Shoujo Shuumatsu Ryokou pour son titre original) est le tout nouveau anime réalisé par le studio White Fox (Re:Zero, Steins Gate, Jormungand,…) et adapté d’un manga de Tsukumizu, une mangaka dont l’œuvre est publiée dans le magazine hebdomadaire Kurage Bunch (un magazine dont je n’avais jamais entendu le nom avant et dont quasiment aucun titres n’ont été publiés chez nous). La mangaka est d’ailleurs la personne qui a été en charge de la partie visuelle de l’ending ce que je trouve être très sympathique pour une partie qu’on a trop souvent tendance à sauter (dans mon cas).
Girls’Last tour c’est l’histoire d’un trio : Yuuri la fille un pas toujours très futée qui pense surtout à manger mais qui reste pleine de bonne volonté, Chito beaucoup plus réservée et sérieuse qui s’occupe du cheminement et de l’intendance et pour finir leur chenillette qui n’a certes pas de nom mais qui joue un rôle tout à fait central dans l’aventure. C’est en effet à bord de ce petit véhicule, sorte d’hybride entre un half-track et une moto que notre sympathique duo avance au fil des épisodes dans un monde dévasté par la guerre. C’est donc une succession de ruines, villes abandonnées et vaste étendues enneigées et glacée qui sont au programme de ce voyage sans but ni retour. A court terme leur seul objectif est la découverte de nourriture (des rations oubliées de la guerre majoritairement) et de carburant pour leur véhicule. Les autres humains survivants sont pour le moins rares et les rencontres sont donc peu fréquentes.
Au final c’est à la fois un titre qui montre beaucoup de chose sans pour autant les énoncer, un titre assez touchant de deux filles perdues dans un monde sans espoir mais qui continuent d’avancer sans réel but, parce que s’arrêter signifie juste renoncer. Le character-design du titre est d’ailleurs une grande force car permet de jouer facilement sur les expression faciales et l’OST aussi sait apporter sa discrète contribution à cette ambiance particulière.
Épisodes disponibles : 04/12 chez Wakanim
Intérêt Global :
(+1 pour les fans de tranche de vie sympathique, -2 ceux qui veulent de l’action)
Vous pouvez utiliser ce post pour nous livrer vos impressions sur la série, discuter du Plot, etc. Si vous avez peur de spoiler les gens, n'Hésitez pas à vous servir de l'option Spoiler disponible dans les outils.
15:10 pm
22 décembre 2015
C’est donc parti pour cette review du long voyage sans retour de nos deux héroïnes attachantes et courageuses dans ce monde dévasté, la raisonnable Chito doublée par la très adaptée et populaire Inori Minase et la dissipée Yuuri doublée elle par Kubo Yurika (qui double notamment Hanayo de Love Live ou encore Loki de Danmachi).
L’anime s’ouvre donc dans une vaste ruine industrielle, sorte d’usine de taille démentielle laissée désormais à l’abandon et la rouille dans le calme et l’obscurité. C’est dans ce décor déprimant qu’on voit alors surgir de l’obscurité nos deux héroïnes et leur fidèle compagnon : une autochenille clairement inspirée du Sdkfz 2 (pour Sonderkraftfahrzeug : véhicule spécial à moteur), petit véhicule deux places de la Wehrmacht entre 1940 et 1945 conçu comme véhicule de transport léger et tracteur d’artillerie légère tout en étant transportable par avion à l’inverse des autres modèles plus gros mais plus connus. De petite taille (2.7 x 1 x 1 m) pour un poids de seulement 1235kg à vide, l’engin était propulsé par un moteur Opel de 36 chevaux jusqu’à 72km/h sur route (50 en tout terrain) pour une autonomie de 260km (190). C’est comme de coutume Chito qu’on retrouve au guidon alors que Yuuri est assise à l’arrière du véhicule.
La seule introduction faite sur le pourquoi de leur présence solitaire en ces lieux tient en un bref flashback de quelques secondes où l’on comprend néanmoins qu’elles ont dû abandonner quelqu’un, probablement celui qu’elles évoquent par le nom de « papy » et ce sur fond de guerre et de présence de soldats. Et c’est ainsi qu’après plusieurs jours elles sortent enfin de la vaste ruine échangeant l’obscurité pour la blancheur de la dévastation enneigée.
Le passage suivant met enfin Yuuri en valeur, il s’avère qu’elle ne transporte pas sa carabine à verrou pour rien : elle est en fait une excellente tireuse contrairement à sa comparse qui ne supporte pas les armes. On retrouve ensuite notre duo un peu plus loin en train de fouiller ce qui ressemble à un champ de bataille à la recherche notamment de nourriture. A en juger par les restes en place comme un vieux char ressemblant à un Chi-Ha japonais ou à un avion évoquant un bombardier américain de cette même époque : d’après le niveau technologique on peut donc supposer de ce monde a été dévasté par une guerre équivalente à la Seconde Guerre Mondiale qui aurait encore plus mal tourné (sisi c’est possible, genre un hiver nucléaire). Ce contexte difficile n’empêche néanmoins pas nos deux héroïnes, notamment Yuuri, d’agir de façon puérile et amusante.
Le passage suivant voit notre amie le Sdkfz avancer lentement dans une grosse tempête de neige avant que nos deux amies transies de froids ne trouvent une ancienne installation produisant de l’eau chaude toujours en activité. Elles en profitent pour s’organiser un petit bain chaud, luxe dont elles n’ont que rarement l’occasion de profiter à les écouter. Suite à ça on comprend à quel point le monde actuel est mort lorsqu’elles croisent leur premier poisson : n’ayant jamais vraiment vu d’animal sauvage, elles ne savent pas vraiment si elles peuvent le manger…ce qu’elles finiront quand même par faire.
Si j’avais peur durant un moment qu’on ne croise jamais d’autre humain dans ce titre, le troisième épisode vint à point pour lever mes doutes puisqu’elles croisent la route d’un homme isolé qui passe son temps à établir des cartes de ce monde en ruine. Leur rencontre est quelque peu explosive et teinté de méfiance mais ils arrivent rapidement à sympathiser. On apprend dans cet épisode que toutes les ruines ne datent pas de la même époque et qu’on trouve aussi d’impressionnante structure de par le monde comme dans la ville où elle se trouvent, un peu comme s’il y avait déjà eu une certaine apocalypse entre humain plus avancés par le passé…Le trio décide d’aller explorer une de ces cités en hauteur qu’ils atteignent après quelques frayeurs et avant de repartir chacun de leur côté.
Le cartographe leur ayant donné un appareil photo en cadeau, l’épisode suivant est quant à lui largement orienté sur le thème de la photographie ce qui donne à nouveau des situation touchante ou amusante en fonction des cas. Le sujet de la religion est aussi évoqué par la présence de nombreuses statues et l’incursion des deux jeunes filles dans un vaste temple ancien avant qu’elles ne reprennent leur route…
Au final pour ce début de saison, White Fox nous livre donc une adaptation très propre d’un titre original car se voulant très tranche de vie (ce qu’il est clairement) tout en mettant un scène un cadre atypique pour ce type d’œuvre. Le décalage constant entre la dureté de la situation et les ressorts comiques de notre duo, accentué qu’il est par le chara-design, provoque (en tout cas chez moi) un vrai sentiment d’attachement aux personnages et un mélange d’amusement, de bienveillance et de tristesse au fil des épisodes, impression que vient aussi renforcer la bonne bande son du titre, notamment plusieurs insert song à la fois douces et discrètes.
13:21 pm
22 décembre 2015
Et c’est donc reparti pour notre duo de choc dans sa marche en avant à l’aveuglette (le meilleur duo de personnage de l’année selon moi au passage). Comme dans la première partie, les épisodes continuent de se découper selon 1,2 voire trois thématiques à chaque fois, qui doivent suivre le chapitrage du manga car chaque changement est bien délimité à la façon dont ça peut aussi être fait sur Sangatsu no Lion. Si chaque passage est relativement indépendant est séparé du précédant temporellement, il est important de noter qu’ils ne sont néanmoins pas du tout séparés et suivent bien une chronologie précise.
Le premier thème de cette review qui couvre les épisode 5, 6, 7 et 8, traite ainsi de la notion de foyer alors que notre duo de choc progresse dans un immense complexe d’immeubles d’habitation dont elles ont bien du mal à se représenter à quel point la population qui vivait là pouvait être nombreuse à une autre époque. Alors qu’elles prennent un peu de repos dans un vieil appartement où restent deux vieux fauteuils, elles laissent leur imagination vagabonder et imaginent ce qu’aurait pu être leur vie si elles avaient été les habitantes de cette époque de paix où la ville vivait encore. Comme souvent dans le titre on oscille entre amusement et tristesse, portés que nous sommes par une bande son qui sait toujours être juste pour ajouter une surcouche de feelings au visuel.
Mais il n’est guère l’heure de s’attarder, les deux filles sont toujours sous l’épée de Damoclès que représente le manque de nourriture et elles reprennent rapidement la route, bientôt sous la pluie, à la recherche de ravitaillement. La pluie qui va donner l’occasion à nos deux protagonistes de débattre sur le thème de la musique alors que cette fin d’épisode sera marquée par la création d’une mélodie de leur part en utilisant divers récipients métalliques et les gouttes de pluie pour générer divers sons. Là encore on assiste à un grand moment de zen au milieu de cette vaste dévastation qui s’étant à parte de vue, il faut dire que cet anime sait se montrer particulièrement philosophique en mettant en scène ces deux personnages aux caractères si différents.
L’épisode suivant est quant à lui l’occasion d’un nouvelle (et rare) rencontre avec un autre humain. Tout commence avec une tuile : la panne du fidèle véhicule de nos héroïnes, et Chito est bien en peine de parvenir à le réparer. C’est alors qu’elles croisent la route d’Ishi, une femme qui est en train de faire des tests de vol sur un avion. Cette dernière calée en mécanique les aide à réparer leur half-track en échange de l’aide des deux filles pour son projet personnel : en effet, après les avoir guidées jusqu’à l’ancienne usine d’avions où elle réside, elle leur explique vouloir fabriquer un avion pour quitter la ville. L’avion en construction est d’un design particulièrement affreux mais c’est toutes les trois qu’elles vont finir son assemblage tant bien que mal.
Ishi leur fait ses adieux et leur donne quelques renseignements sur une usine de nourriture avant de prendre son envol. Envol réussi dans un premier temps mais rapidement l’avion trop fragile se désagrège sous les yeux de Yu et Chito, même si Ishi avait fait le bon choix d’emporter un parachute et elle finit par se poser quelque part au loin dans la ville alors que le duo reprend sa route.
Elles se dirigent alors vers la fameuse usine au travers d’un immense complexe industriel où elles se perdent avant de retrouver leur route. Finalement une fois sur place c’est la déception qui l’emporte : il ne reste plus qu’une patate sur les vaste installation d’hydroponie (les patates dans ce monde ont vraiment une drôle de gueule…). Il reste néanmoins assez de matière première pour réaliser une fournée de barres de rations ce qu’elles font dans la bonne humeur avant de reprendre la route.
Le passage suivant est bien plus lourd de par sa thématique par contre. On retrouve notre équipage en train de déambuler au milieu d’immenses casiers dont seuls quelques-uns sont restés ouverts et Yu récupère divers objets à l’intérieur avant que Chi ne comprenne que les lieux ne sont en fait qu’un immense tombeau à perte de vue et qu’elle demande à Yu de remettre les souvenirs là où elle les a pris par respect pour les défunts.
Alors qu’elles continuent leur route vers l’étage supérieur de la ville construite en strates sur ces immenses piliers, elles manquent de se tuer en tombant dans le vide mais grâce au sang-froid de Yu, elles s’en sortent à nouveau sans dommage. Elles terminent ainsi l’épisode sur la découverte de plusieurs bouteilles de bière et c’est donc un épisode qui se termine sur l’image des deux filles complètement bourrées sous le clair de Lune…enfin il se termine plutôt sur la méchante gueule de bois de Chito le lendemain d’ailleurs !
Vous l’aurez compris, le titre continue de proposer une atmosphère assez unique et touchante mêlant comédie, drame et philosophie avec un rendu visuel et sonore vraiment intéressant. Il faut aussi souligner je pense la grande qualité de la performance des deux seiyuu de nos deux héroïnes soit Inori Minase (encore elle) pour Chi et Kubo Yurika pour Yu.
15:59 pm
22 décembre 2015
Il est l’heure de finir cette seconde review très en retard ce qui est d’autant plus honteux qu’elle concerne tout simplement mon anime favori de la saison d’automne et que j’aurais mis dans mon top10 de l’année si je devais le faire maintenant (cette série fait partie de celles que je trouve encore meilleure avec un peu de recul, effet inverse de certains animes à hype trop forte).
Le premier épisode de cette review est donc le 9ème de la série dont l’histoire tourne autour du dernier poisson survivant d’une vaste usine piscicole robotisée. La dernière machine encore en état de fonctionner s’occupe en effet de nourrir le poisson et va expliquer sa situation aux deux héroïnes tout en tentant d’empêcher Yuu de manger le dit poisson. Les filles profitent de cet arrêt pour se reposer, dormir au chaud et même se baigner même si cette dernière occupation qui convient parfaitement à Yuu, manque de se terminer de façon funeste pour Chito. La fin de l’épisode est marquée par l’irruption d’un robot géant de construction qui commence à détruire les lieux suivant sa programmation, Yu décide de sauver les lieux et le poisson avec l’aide de Chi et saute courageusement sur le dos de l’immense machine pour y fixer des explosifs et se débarrasser d’elle. Bien que risquée, l’opération est menée à son terme et elles reprennent bientôt leur route laissant la machine et le poisson seuls dans la grande installation.
L’épisode 10 commence par un long trajet de notre duo à l’intérieur d’un grand train souterrain, automatisé et vide. La scène est de nouveau l’occasion de réflexions amusante de Yuu notamment basée sur l’originalité pour elle d’être dans un véhicule qui roule à l’intérieur d’un véhicule qui roule, en gros elle redécouvre les bases de la mécanique classique. Lorsqu’elles finissent par quitter le train, elles tentent de regagner la surface, guidées par la radio que Yuu a discrètement conservé depuis l’épisode du mausolée malgré les instructions de Chi. Leur arrivée en surface est assez mouvementée mais elles sont en un seul morceau malgré tout. On retrouve alors un nouveau champ de bataille attestant du déroulement de deux guerres successives de grande ampleur avec à nouveau de l’armement typique du vingtième siècle intégré dans les ruines d’une guerre futuriste. C’est là dans ces ruines que les filles rencontrent un être étrange de petite taille que Yuu baptise Chet. La créature allongée et toute blanche est capable de communiquer avec elle par le biais de la radio allumée de Yuu et malgré les réticences initiales de Chito, elles finissent par accepter de l’emmener avec elle voyant que Chet s’obstine à les suivre.
Dans l’épisode 11 on voit Yu passer beaucoup de temps avec Chet pendant leurs longs trajets motorisés, la créature est rapidement capable de parler et répondre à des questions simples. De plus pas de conflit pour la gestion des rations, Chet ne semble en effet consommer que des munitions militaires de taille parfois démesurées pour lui…il apprécie aussi de consommer du carburant comme on le voit plus tard. C’est un peu plus tard que le duo tombe, ou plutôt voit tomber un énorme robot qu’elles s’empressent d’examiner. En montant dans le cockpit, elles activent par mégarde les commandes de la machine et assistent à petite échelle à ce qui a ravagé probablement une grande partie du monde : le robot est équipé d’une arme à faisceau surpuissant qui dévaste tout un pan de la vielle en quelques secondes…L’épisode se termine par la découverte d’une autre arme terrible mais plus contemporaine pour nous : un sous-marin nucléaire lanceur de missiles balistiques.
C’est dans ce sous-marin que commence le dernier et le plus poignant des épisodes de la séries (avis purement personnel). Alors qu’elles explorent le navire et y trouvent notamment du chocolat, elles finissent sur la passerelle où l’équipement est encore en service et elles vont avoir la surprise de voir leur appareil photo se synchroniser avec le matériel de bord. Avec l’aide de Chet, elles vont pouvoir ouvrir toutes les photos et vidéos contenues dans l’appareil depuis très longtemps à en juger par la diversité et le nombre de photos et vidéos. Sous leurs yeux ébahis, se rejoue alors le quotidien heureux des gens du monde d’avant-guerre ainsi que les éléments les plus marquant et terribles de cette dernière. Les vidéos de naissances, évènements scolaires, anniversaires et autre concerts classiques se mélangeant aux raids aériens, aux discours martiaux et autres dévastations nucléaires, le tout porté par une musique au piano parfaitement adapté à cette ambiance de la fin du monde donne un des passages les plus émouvant de mon année anime 2017. Le passage est d’autant plus émouvant qu’il est suivi d’un flashback sur les adieux entre les deux petites filles et le fameux papy en plein milieu de combat avec un adulte qui leur fait ses adieux un pistolet à la main…avant qu’on entende une unique détonation alors que la scène se termine ne laissant que peut de doute quant au choix de cet homme altruiste en pleine fin du monde. Le tout dernier passage de l’anime va voir notre duo rencontrer dans ce sous-marin d’autre forme de vie comme Chet mais bien plus grosses et dont la forme finale ressemble beaucoup à un champignon vivant. La forme de vie leur explique qu’elles s’occupent d’ingérer les matières instables qu’il s’agisse de carburant, d’électronique, d’explosifs et même de matière radioactive afin de mettre fin au cycle de la vie à la surface de la Terre comme pour tourner la page de l’humanité disparue. Elles apprennent d’ailleurs être les seules en vie dans la ville où elles se trouvent être actuellement même si elles reconnaissent ne pas être totalement omnisciente. Chet est réticent à accompagner ses semblables et s’accroche de façon touchante à Yuu avant d’accepter finalement de partir et de faire ses adieux aux humaines. La scène se termine sur fond de musique triste alors que les être partent en volant et que le sous-marin retourne dans l’obscurité avec l’arrêt de son réacteur.
Même si la Terre semble officiellement condamnée, les deux filles décident de reprendre la route aussi longtemps qu’elles pourront rester ensemble, le tout en direction de la ville la plus haute, là où réside une infime probabilité de trouver encore un peu de vie. C’est sur cette scène à la fois pleine d’amitié et de bons sentiments mais aussi de désespoir que l’anime se conclue avec le retour du second ending entendu dans l’épisode de la pluie : Amadare no Uta.
C’est d’ailleurs en écoutant cette musique que je conclue la review de ce très beau titre (et avec une petite larme au coin de l’œil) et vous remerciant de m’avoir lu jusque là en en remerciant aussi tout le staff ayant travaillé sur ce bel anime pour le compte de White Fox ainsi que la créatrice de cette belle histoire, la mangaka Tsukimizu dont j’aimerais bien voir le manga sortir chez nous ce qui est peu probable je pense mais pas impossible car ne comportant que six tomes.
11:16 am
26 juin 2013
Le Mangaka a fait un petit Manga pour raconter une séance de doublage de la série.
https://imgur.com/a/QLMq3U9#9Q4gSb1
(Merci Nautawi pour le Link. )
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