16:11 pm
1 février 2016
∼ Flip Flappers ∼
Genre : Merveilleux, Magical Girl, Conte
Note Technique :
Character design :
CGI : [optionnel]
Backgrounds :
Animation :
Histoire :
“Pure Illusion” est une dimension qui contient un mystérieux Crystal appelé « Eclat de Mimi ». Ce Crystal permettrait de réaliser n’importe quel vœu… Papika et Cocona sont deux adolescentes dont la vie a changer, le jour où elles se sont rencontrées et retrouvées dans la dimension « Pure Illusion ». Et dès qu’elles sont en danger, le crystal scintille et elles se métamorphosent en « Magical Girls »
Épisodes disponibles : 4 sur 13, 1 disponible chez ADN
Intérêt Global (note provisoire) :
(+2 - oui, au dessus de 10, j'ose - si vous êtes fan d'animation, entre -1 et -3 suivant l'importance que vous donnez à la cohérence de l'histoire sur les premiers épisodes)
Vous pouvez utiliser ce post pour nous livrer vos impressions sur la série, discuter du Plot, etc. Si vous avez peur de spoiler les gens, n'hésitez pas à vous servir de l'option Spoiler disponible dans les outils.
Je livererais mes impressions sur les trois premiers épisodes sous peu. Et il y en a, des choses à dire.
1:30 am
1 février 2016
Je repousse et je dis que j'ai pas le temps, mais il serait quand même temps de remplir un peu cette review. Mes excuses pour les screens uniquement issu de l'épisode 3, mais j'ai du mal à prendre le réflexe d'en faire.
______________
Je me suis beaucoup interrogé sur la structure de cette review. Flip Falppers n'est pas un anime classique, le présenter, comme nous le faisons souvent, par son histoire n'est pas quelque chose qui lui ferait honneur. Mais alors comment ? Juste faire un listing de ses exploit technique serait déjà plus intéressant, mais au final ne couvrirait qu’un des aspects de cet anime. Faire une analyse par épisode ? Ca correspondrait bien, mais ça risque d’être un peu aride et ça ne transmettrais pas l’émerveillement que renouvelle la série à chaque épisode.
Et c’est là-dessus que j’ai décidé. Tout commence par un opening :
et une citation (par Tetho) :
C’est fondamentalement plus anime que tellement [du] reste de la prod
Flip Flappers a cette capacité à s’émerveiller et à émerveiller son public à chaque épisode et à chaque visionnage. Il y a un renouvellement à chaque épisode, une volonté d’innovation tant par rapport au reste de la production que par rapport à lui-même, et globalement une bonne humeur et un entrain dans chacun de ses épisodes.
Mais commençons par, tout de même, résumer où nous en sommes au niveau histoire.
Nous suivons Cocona, une collégienne déjà blasé par sa vie, quotidien dans lequel elle ne parvient pas à s’incarner. Rien ne l’intéresse vraiment et elle passe à travers les jours sans vraiment y prendre part. Alors qu’elle errait sur le campus de son école, elle tombe nez à nez avec une jeune fille hyperactive à l’habit étrange nommé Papika. Celle-ci l’entraînera dans un monde fantastique nommé Pure Illusion, duquel elles ne sortiront qu’une fois que Cocona aura découvert un étrange pouvoir en elle et ainsi découvert un de ces fameux éclats.
Après une nouvelle péripétie dans ce monde, où ce fut au tour de Papika de découvrir un pouvoir interne et de récupérer un éclat. celle-ci va présenter Cocona à son entreprise en tant que nouvelle partenaire. Sans perdre de temps, cette équipe d’illuminés va à nouveau envoyer les jeunes filles dans Pure Illusion, où elles feront cette fois-ci la rencontre de Yayaka, une amie d’enfance de Cocona, accompagnée de son équipe. Cette dernière semble appartenir à un mystérieux culte qui souhaite récupérer les éclats pour son propre bien. C’est d’ailleurs cette fois-ci Yayaka qui récupérera l’éclat.
Suite à cette aventure, le groupe de Papika et Cocona se rend compte que la synchronisation entre les deux filles n’est pas bonne. Ils leur demande donc de vivre ensemble quelques jours, ce qu’elles feront. Après que Cocona ait découvert le mode de vie pour le moins peu orthodoxe de Papika, elle se retrouve emmener par cette dernière sur une île déserte à la recherche d’un petit-déjeuner. Île sur laquelle elles se retrouveront bloquées et se verront obliger de se découvrir un peu plus.
J’ai essayé de faire ici un résumé le plus cohérent des quatre premiers épisodes, mais c’est un exercice difficile. Il y a bien une continuité dans l’anime, mais l’accent est plus particulièrement mis sur l’expérience que procure chacun des épisodes. L’histoire est existante, mais découle plus de cette expérience.
Une de mes connaissances comparait Flip Flappers à Space Dandy. Quand bien même je n’ai pas encore vu cette série, d’après ce que j’en ai entendu dire, cette comparaison est assez juste. Chaque épisode est l’occasion pour les storyboarder d’essayer une nouvelle manière de raconter l’histoire, pour les animateurs de s’essayer sur de nouveaux styles d’animation, pour les photographes d’essayer de nouvelles techniques… Ces différents essaies donnent à chaque épisode un cachet particulier, une expérience unique.
Je pense qu’un des points que va traiter la série est la découverte de soit et le réapprentissage de l’émerveillement. Et il nous le fait vivre dans chaque épisode, via son renouvellement constant, ses mondes hauts en couleur et ses mises en scènes inventives.
J’ai vraiment du mal à en dire plus avec des mots. Chaque épisode se vit plus qu’il ne se raconte, ou plus qu’il ne se critique. Je ne peux que vous encourager à aller voir la série, à lui laisser sa chance. J’ai vu beaucoup de critique dire que la série n’avait aucun sens, aucun but. Ce n’est pas vrai. Ce qui l’est, par c’est, est que ce n’est pas une série aussi accessible que la plupart des animes. Elle demande un investissement, que vous soyez attentif, que vous ayez envie de laisser l’histoire entrer en vous. C’est pour moi une chose importante quand on regarde cet anime : être attentif au détail, chercher ce qu’il veut transmettre de manière plus profonde que ce qui est juste montré à l’écran.
Je pense maintenant que, plutôt que de continuer à radoter les mêmes choses, je vais juste vous montrer quelques clips issus de la série, qui, je le pense, montre cette envie d’innover et d’émerveiller, au moins au niveau de l’animation, l’histoire ne pouvait être véhiculée que par les épisodes entiers.
https://sakugabooru.com/post/show/26097/animated-background_animation-debris-effects-flip_
Une animation incroyable d’un animateur régulier de la série, avec quelques impact frame très sympa participant directement à la narration de l’action.
https://sakugabooru.com/post/show/26099/animated-character_acting-effects-flip_flappers-na
Quand je vous parlais d’émerveillement.
http://twilight.mahoro-net.org/~audreyazura/Cuts/FliFla02-01.mp4
Première fois que je vois un anime TV virer à l’art abstrait.
https://sakugabooru.com/post/show/26369/animated-background_animation-debris-effects-flip_
Un de mes nouveaux cuts péférés. La manière dont absolument tout bouge à l’écran est absolument fabuleuse.
https://sakugabooru.com/post/show/26512/animated-effects-fighting-flip_flappers-impact_fra
Quand trois animateurs en plus de l’animateur principal du cut s’amusent à faire des impact frame dans un style Kameda, le rendu est forcément exceptionnel et sert parfaitement la narration de cet épisode.
(et la limite à 20 liens du forum m'a obligé à être conservateur ='( )
Et pour finir, j’aimerais vous laisser avec l’ending, qui est peut-être pour moi ce qui représente le mieux la série.
Un conte, mais raconté par un enfant.
0:53 am
1 février 2016
Mes excuses pour le long silence, mais au vue de la particularité de la série, il est toujours d'écrire dessus. Je n'avais pas grand chose à ajouter à la review précédente, et n'est toujours pas de quoi compléter l'approche que j'avais essayé. Du coup, même si j'ai dit vouloir éviter cela la dernière, je vais cette essayer l'approche par épisode, comme cette série se construit mine de rien de manière très épisode, laissant les staffs de chaque épisode explorer un univers très particulier. Je vais à chaque fois raconter le coeur de l'épisode sans réellement développer l'histoire globale qui enrobe l'anime. Une évolution est visible à travers ces thèmes, et c'est ce que j'aimerais mettre en avant.
Episode 1 :
Réalisateur : Kiyotaka Oshiyama
Storyboard : Kiyotaka Oshiyama
Le premier épisode la série, comme souvent dans ce genre de production, a entièrement été pris en main par le réalisateur de la série et donne le ton générale que celle-ci aura.
Nous découvrons une Cocona enfermé dans ce quotidien dans lequel elle n'évolue pas et ne sais aller. C'est ici que débarque Papika, qui va l'entraîner dans Pure Illusion, un monde fantasque et merveilleux. Nous sommes ici clairement dans un épisode basé sur l'émerveillement, du spectateur à travers les personnages. Le monde est vide, mais calme et doux. L'épisode prend le temps s'attarder sur ces grands espaces, sur les personnages se prenant au jeu, formant de premier lien d'amitié, découvrant ce monde. Un plus grand danger semble pourtant habiter la nuit. Alors que nos héroïnes se reposent, des monstres gigantesque et fantastique apparaissent pour venir plonger dans le lac avec un mouvement hypnotique non sans rappeler l'eau des cascades. Alors que Papika se met en danger en essayant de récupérer les lunettes de Cocona, elle se met en danger et tombe à l'eau qui gèle au dessus d'elle. Essayant de la sauver, Cocona découvre en elle un nouveau pouvoir qui lui permet d'aller récupérer Papika, amenant une nouvelle scène merveilleuse où elles se retrouvent toute deux à tomber du ciel avant d'être renvoyée dans le monde réel.
L'émerveillement, la découverte de soit sont clairement au coeur de cet épisode et restent des thèmes centraux tout au long de l'anime.
Episode 2 :
Réalisateur : Noriyuki Nomata
Storyboard : Kiyotaka Oshiyama
Si cet épisode continue sur l'émerveillement et la découverte, mais l'intégration plus ou moins problématique de Papika dans la vie de Cocona et l'apprentissage du compromis devient ici le centre.
Après que Papika ait plus ou moins forcé son entrée dans la vie de Cocona et son école, Papika se retrouve à terroriser le... l'animal familier de Cocona. En le poursuivant, Cocona se retrouve devant un tableau dans une montée d'escalier, qu'une de leurs aînée leur dit apprécier grandement. Mais le compagnon de Cocona s'enfuit à nouveau quand Papika arrive. Elles finissent par le rattraper sur le toit de l'école, où Cocona reprochera à Papika d'interférer dans sa vie et la mets en danger. L'animal se fera cependant aspirer par une sorte d'aspirateur, et Papika et Cocona se retrouveront à devoir le suivre dans Pure Illusion.
Cette fois-ci, la Pure Illusion dans laquelle arrive nos héroïne semble assez folle chaotiques (voir mon lien vers l'animation abstraite dans le post du dessus). Les deux héroïnes se retrouvent séparées et, alors que Cocona retrouvent son familier, elle se fait également enfermé et entraînée vers une mort certaine, Papika ne pouvant que la regarder, impuissante. La détresse qui naît alors, cherchant désespéremment à la sauver au point de se blesser, lui permet de découvrir un nouveau pouvoir et de sauver son amie. Une fois sortie, chacune des deux filles font un pas vers l'autre, renforçant leur amitié en acceptant chacune de faire un peu évoluer ses demandes.
Episode 3 :
Réalisateur : Hiroshi Ikehata
Storyboard : Yaginuma Kazuoshi
Le conflit est au centre de cet épisode, ainsi que sa réslolution. C'est aussi l'épisode le plus facile à suivre depuis le début, sa narration étant beaucoup plus directe.
L'épisode commence directement dans Pure Illusion, cette fois-ci un monde post-apocalyptique que des gang punk sillonne. Papika et Cocona se retrouve séparée à leur entrée. Quand de ces brigands attaquent le village dans lequel Papika a trouvé refuge, celle-ci combat leur chef... qui se trouve être Cocona. Un être né du fragment de ce monde l'a en fait manipulée, exacerbant le ressenti que celle-ci avait à l'encontre de Papika pour la faire attaquer cette dernière. Une fois que Papika l'a libérée de cet malédiction en brisant le casque qui la maintenait, la révélation du fait que le sentiment était toujours présent en elle affectera Cocona. Elle n'aura cependant pas le temps de s'appesantir sur ce dernier point, comme la personne l'ayant manipulé se révélera être un monstre qui les attaquera. Utilisant les pouvoirs découverts aux derniers épisodes, les deux héroïnes se transforment alors (dans des scènes qui ne sont pas sans rappeler les transformations de Sailor Moon : https://sakugabooru.com/post/show/26510/animated-effects-flip_flappers-henshin-yumi_ikeda et https://sakugabooru.com/post/show/26511/animated-effects-flip_flappers-henshin-yumi_ikeda) et le combatte. Elles ne parviennent cependant pas à prendre le dessus, et son sauvé in extremis par un groupe mené par l'amie d'enfance de Cocona : Yayaka. Cette dernière récupére alors le fragment, et sort de Pure Illusion pour aller rejoindre sa propre organisation. Papika et Cocona parviennent à sortir de Pure Illusion, défaite, mais ayant chacune quelque peu grandie.
Episode 4 :
Réalisateur : Masayuki Sakoi
Storyboard : Masayuki Sakoi
Nous sommes sur le dernier épisode de renfort des liens entre Papika et Cocona. Je dirais que son thème est l'acceptation de l'autre et de ses différences.
Papika et Cocona ne sont pas assez coordonné, ce qui les empêche d'être efficace une fois transformé. Pour remédier à ça, leur organisation, Flip Flap, leur demande de vivre ensemble un certain temps. Cocona, se rendant chez Papika, se rend compte que celle-ci vit en fait au fond de la cours de l'école, dans le tuyau près duquel elles se sont rencontrées la première fois. Papika fait montre de compétence survivaliste assez développées (et d'un certains manque de pudeur). Pendant la nuit, Cocona s'interroge sur le fait que l'envie d'attaquer Papika, ce qui s'est passé à l'épisode précédent, ait toujours été en elle. Mais la fatigue prend le dessus et, le lendemain matin, Papika l'emmène sur une île déserte pour le petit déjeuner... île sur laquelle elles se retrouvent bloquées. Une fois de plus, Cocona doit bien se rendre compte des talents survivalistes de Papika. Après un bain à deux dans un tonneau, les deux se retrouvent à passer la nuit sur la plage, et Cocna révèle un peu de sa vie à Papika, qu'elle commence à admirer plus qu'elle ne l'ennuie. Après avoir construit ensemble un bateau de fortune le lendemain, elles se retrouvent aspirer par une Pure Illusion, se promettant ll'une à l'autre de ne jamais se séparer.
Un épisode un peu à part qui permet de développer les personnages et de mieux les comprendre.
Episode 5 :
Réalisateur : Ryohei Takeshita
Storyboard : Ryohei Takeshita
Le premier focus semble être la parodie des genres du yuri et de l'horreur, mais en toile de fond, le changement et l'évolution y sont très pregnant.
Après avoir plusieurs fois perdues contre l'équipe de Yayaka, Papika et Cocona arrivent dans une nouvelle Pure Illusion, se retrouvant bloqué dans un établissement ressemblant à leur collège, mais peuplée uniquement de fille au visage déformée, qui ne parlent quasiment pas, ou alors de manière horriblement déformée. Suite a premier choc du à cette rencontre, elle se retrouvent dehors, sous la pluie. Pluie qui semble draîner leurs forces. Après qu'elles se soient évanouies, elles se réveillent dans un bain et son acceuiçllie par les étranges élèves. Une fois le premier choc passées, elles se retrouvent intégrer à leur cercle (donnant au passages quelques scènes typiquement yuri et des arrières plans sublimes, voir ci-dessous). Elles passent alors une nuit dans l'école, mais le lendemain, la journée est exactement la même. Ainsi que le surlendemain. Et le jour suivant... Yayaka, également présente dans l'établissement, finit par prendre à Cocona à part et lui expliquer que le temps boucle dans ce Pure Illusion : le monde est remis à zéro à chaque fois que l'horloge atteint minuit. Papika et Cocona cherchent alors à trouver un moyen de s'y rendre, supposant que le fragment s'y trouvent, et finissent par y arriver. Un combat se déroule alors dans les murs de l'horloge, où Papika et Cocona sauvent Yayaka. Les deux héroïnes finissent par récupérer le fragment, mais ne parviennent à sortir. Yayaka leur offre alors d'utiliser sa porte, les ramenant à l'école. Une fois arriver, Cocona promet d'arriver à faire changer Yayaka.
Episode 6 :
Réalisateur : Hiroshi Ikehata
Storyboard : Yuzuru Tachikawa
Un épisode assez à part, à nouveau sur la découverte mais qui va ici nous présenter un aspect assez inattendue de Pure Illusion. Peut-être un des épisodes les plus dramatiques qu'il y ait eu pour le moment. Je pense que son thème serait quelque chose tel que l'incidence de notre vécu sur notre monde.
Cocona passe du temps avec son aînée amatrice d'art, rencontrée à l'épisode 2. Elle apprend alors que cette dernière ne supporte pas le vernis à ongle. Tout ceci semble sans incidence jusqu'à ce que les deux se retrouvent projeter dans une Pure Illusion ressemblant en tout point aux peintures que fait cette aînée. Combattant une nouvelle fois l'équipe de Yayaka, elles se retrouvent dans leur fuite devant une porte noire aux airs dangereux. Les deux s'y retrouvent entraîner, et elles deviennent alors une petite fille de ce monde, au nom de Iro. Cocona vit les moments heureux, représentés par des couleurs chaude, quand Iro est avec sa vieille voisine qui prend soin d'elle et l'encourage à dessiner, lui montant comment mettre du vernis... Papika vit avec les parents, dans un monde aux couleurs froides, où elle dessine seule dans sa chambre, et dans lequel la seul apparition de ses géniteurs semblent sujette à des craintes (ici, quand Cocona prend la place de Papika et va les voir : https://sakugabooru.com/post/show/27226/animated-character_acting-flip_flappers-yasunori_m).
Mais la vieille voisine semble oublier de plus en plus de choses, jusqu'au nom d'Iro (l'être que sont devenues Papika et Cocona). Au point que Cocona lui promette de lui rappeler son nom si jamais elle l'oublie. Il se trouve que la voisine souffre en fait d'Alzheimer (c'est d'ailleurs une des meilleures représentations que j'ai vu de la maladie dans une oeuvre dont elle n'était pas le propos central), et finit par devoir être interner. Et quand Cocona va la voir, celle-ci ne la reconnaît pas. Sous le chagrin, la jeune fille s'enfuit, mais elle et Papika le regrette bien vite. Elles retournent finalement ensemble et leur disent leur nom : Iro. Le monde s'effondre alors et elles retournent dans le monde. Quand Cocona retourne ensuite voir son aînée, elle se rend compte que celle-ci remets du vernis. On apprend alors qu'elle se nomme... Iroha.
Un épisode un peu à part mais qui traite avec justesse d'un sujet intéressant.
Episode 7 :
Réalisateur : Hitomi Ezoe
Storyboard : Kiyotaka Oshiyama
Un épisode cette fois-ci beaucoup plus centré sur Cocona, ayant pour thème l'acceptation de soit.
Suite à l'épisode précédent, et voyant que leurs actions ont des conséquences réelles sur le monde, Cocona commence à se poser des questions sur la justesse de ce qu'elles font. Après avoir essayer, sans succès, d'en savoir plus sur cette porte qu'elles ont franchi, Cocona se retrouve forcer à aller dans une nouvelle Pure Illusion avec Papika, quand bien même aucune des deux ne semblent vraiment souhaiter y aller. Cocona se retrouve alors dans une villle ressemblant à tout point au monde réelle, mais entièrement vide. Seulement des aspects de Papika apparaissent de temps à autre, sous la forme d'archétype (la petite soeur, la fille riche, le délinquant, le beau garçon...). Cocona se retrouve alors confrontée à son attachement à Papika et, quand bien même elle apprécie au fond ce monde, elle se rend bien compte que tous ces substrats ne remplacent pas la vraie Papika. Partant à sa recherche, elle se retrouve encore plus isolé et se perd dans ses propres pensées. C'est alors que le monde semble commencer à se dissoudre sous ses pieds, après que la team de Yayaka ait récupéré le fragment. Alors qu'elle commence à chuter, appelant Papika à l'aide de tout son coeur, cette dernière apparaît dans une fusée ressemblant au tuyau près duquel elles se sont rencontrées, et l'emmène avec elle. Elles parviennent ainsi toute deux à quitter la Pure Illusion.
Une plongée dans les sentiments de Cocona et sa relation avec Papika assez intéressante. Une certaine scène dans une chambre me fait même me demander jusqu'où ils vont vraiment aller.
20:25 pm
26 juin 2013
Bonus Flip Flappers :
On va commencer par l'Ending parce qu'il est trop choupi !
(oui je sais qu'il est déjà plus haut dans la Review mais quand on aime, on ne compte pas ! )
Maintenant quelques exemples de Storyboard.
~ Un bout de la transformation en Magical Girl. ~
~ Des passages de l'épisode 7. ~
Et si on regardait aussi quelques recherches ?
~ Épisode 4. ~
~ Épisode 5. ~
~ Épisode 6. ~
Pour finir, un exemple de ce qu'on appelle un « Harmony ».
~ On commence par la ligne. ~
~ Mise en couleur. ~
~ Finalisation. ~
~ Intégration à l'animation ! ~
C'est tout pour cette fois !
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